Chirurgie bariatrique : quel suivi nutritionnel ?

La prise en charge nutritionnelle après une chirurgie bariatrique est trop souvent négligée, et les patients perdus de vue. Or elle est indispensable, à la fois pour assurer le succès de l’intervention et pour limiter le risque de carences et de complications. Bilans, supplémentations spécifiques et conseils diététiques : on vous…

Intérêt de la sieste : que dit la recherche ?

C’est prouvé : le manque chronique de sommeil a des conséquences néfastes sur la santé. Pour faire face à l’épidémie actuelle de dette de sommeil, les siestes de récupération ont souvent été proposées comme un « outil de santé publique » pertinent. Mais qu’en est-il vraiment ? Quels sont les effets de cette pratique sur les…

Trousse d’urgence du patient anaphylactique

En France, on compte 1 603 cas d’anaphylaxies mortelles entre 1979 et 2011. L’anaphylaxie est une réaction allergique sévère nécessitant une prise une charge immédiate. Or, chez un patient sur deux, l’adrénaline n’est pas prescrite. Qui est concerné par la prescription d’une trousse d’urgence ? Quelles sont les indications absolues…

Alopécie : minoxidil topique ou oral, qui fait mieux ?

Le minoxidil topique est le traitement de référence de l’alopécie androgénétique de l’homme. Cependant, la forme per os est de plus en plus prescrite, hors AMM, pour sa (supposée) meilleure tolérance voire efficacité. Mais qu’en est-il vraiment ? La première étude comparative vient de paraître dans le JAMA.

Les opticiens peuvent adapter la prescription dès la première délivrance

C’était déjà le cas pour les renouvellements des verres correcteurs ou de lentilles de contact. Désormais, l’adaptation de la prescription par les opticiens-lunetiers peut se faire dès la première délivrance. La mesure fait partie de l’élargissement des compétences prévu par la loi Rist.

Sept médicaments génériques retirés du marché : conduite à tenir (ANSM)

Antidiabétiques, antalgiques, antipsychotiques… Sept génériques sont retirés du marché en raison d’études de bioéquivalence défectueuses. Quarante-et-un autres bénéficient d’un report de suspension de l’AMM de 24 mois pour garantir la continuité des soins. Que dire aux patients ?