Paralysie faciale : traquer les séquelles

Du côté paralysé (fig. 1) :– dans les formes flasques, hypotonie se traduisant par : abaissement du sourcil ; disparition des rides du front ou du sillon naso-génien ; impossibilité de fermer l’œil (abaissement de la paupière inférieure et rétraction de la supérieure : signe de Charles-Bell) et/ou incapacité à sourire ;– dans…

Dyspnée laryngée aiguë de l’adulte

Le larynx, organe clé du carrefour aérodigestif, permet le passage de l’air lors de la respiration et de la phonation, et protège l’arbre trachéobronchique au cours de la déglutition en se fermant (fig. 1). Ses 3 fonctions  (respiration, phonation, déglutition) sont toutes à évaluer même si la plainte du patient n’en concerne qu’une…

Une aile soufflante…

Arnaud, 37 ans, militaire sportif et asymptomatique, consulte avec les radiographies prescrites pour une expertise médicale initiale au parachutisme. L’aile iliaque gauche est le siège d’une lacune osseuse assez importante de découverte fortuite (fig. 1). Un complément d’imagerie par TDM (fig. 2) confirme l’existence d’une lésion…

Rétine artificielle : peut-on redonner la vue ?

La rétine fonctionne en transformant les images lumineuses reçues à travers la pupille en signaux électriques envoyés au cortex occipital (fig. 1). Les photorécepteurs (cônes et bâtonnets) situés dans la partie la plus profonde, assurent la transduction du signal lumineux en signal bioélectrique, qui est transmis aux cellules…

Saignements gynécologiques anormaux de la femme jeune

Une fois les urgences éliminées, il faut distinguer les saignements qui nécessitent un avis gynécologique de ceux pouvant être gérés par le médecin généraliste. Ce dossier pointe les éléments importants à rechercher à l’interrogatoire et à l’examen clinique afin d’orienter les explorations et la conduite à tenir.

Isotrétinoïne : bien peser les bénéfices/risques

L’acné est une dermatose inflammatoire chronique de l’unité pilo- sébacée, débutant à l’adolescence et pouvant persister à l’âge adulte. Sa prévalence est très élevée. Elle est considérée comme sévère chez 10 à 20 % des patients.1