Comment évaluer le risque de chute chez le sujet âgé ?

Les chutes des personnes âgées de 65 ans ou plus constituent un important problème de santé publique. Leur prévention passe par un dépistage des sujets à risque modéré ou élevé de chute puis une correction des facteurs concourant à ce risque.

Vivre avec une dissection aortique

Après la phase aiguë d’une dissection aortique, la crainte d’une complication secondaire persiste. Cela transforme la vie des personnes concernées et de leur entourage. Le contrôle impératif de la pression artérielle et l’interdiction des efforts intenses ne favorisent pas l’oubli : un travail d’acceptation est nécessaire.

Plan national pour lutter contre les chutes des personnes âgées : des mesures attendues !

Chaque année en France, les chutes des patients âgés de plus de 65 ans sont à l’origine de près de 130 000 hospitalisations, 65 000 fractures de hanche et 9 000 décès, pour des dépenses annuelles estimées à 2 milliards d’euros. Les facteurs de risque de chute sont connus : inactivité physique, peur de la chute, dénutrition,…

Comment rechercher une maltraitance subie ?

S’il observe ou suspecte une maltraitance, de nombreuses questions peuvent se poser au praticien de premier recours. La réponse à la première d’entre elles, « Pourquoi dépister ? », ouvre la voie aux suivantes.

Vaccinations des patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique en période pandémique

La pandémie de SARS-CoV-2 a pu modifier les prises en charge habituelles des patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique ; en particulier, les vaccinations ont été retardées. Or il est bien établi qu’elles ne doivent pas être négligées chez les personnes immunodéprimées, en suivant des règles d’administration précises.

Troubles du comportement alimentaire

Les troubles du comportement alimentaire (TCA) regroupent essentiellement trois entités : anorexie mentale, boulimie et hyperphagie boulimique. Leur prévalence augmente, les complications sont parfois irréversibles, les comorbidités psychiatriques quasi systématiques, et un même patient peut passer d’une forme à l’autre de TCA.