Homo sapiens

Homo sapiens est la seule espèce survivante d’une grande diversité de formes d’homininés du pléistocène moyen (3e étage du pléistocène). Cette espèce, au succès adaptatif remarquable, a une origine africaine et s’est répandue en Eurasie durant le pléistocène supérieur (1re époque de la période du quaternaire), d’abord dans les…

Origine de l’homme

L’émergence du genre humain (Homo sapiens) a pu être précisée par des études menées sur une dizaine d’années dans le sud de l’Éthiopie. Elle est schématisée par la représentation d’une falaise de 800 m de haut dont la structure inférieure correspond à plus de 3 millions d’années alors que la partie supérieure date de moins d’1…

Passage de la douleur à la conscience 

Douleurs et mécanismes inconscients : il peut apparaître paradoxal de parler de phénomènes inconscients dans la douleur où toute l’expertise est fondée sur le récit d’une perception sensorielle (nociception), mais aussi d’un vécu de désagrément sub­jectif, qu’analysent les échelles de douleur utilisées en clinique. Pourtant, comme…

Administrer un agent thrombolytique favorise-t-il une hémorragie cérébrale sur un cerveau sain ? 

Une hémorragie intracérébrale (HIC) peut survenir lors d’un traitement thrombo­lytique prescrit pour une pathologie coro­naire. Dans les thrombolyses pour ischémie cérébrale, une HIC sur 50 survient en dehors du territoire ischémié. Le mécanisme de ces hémorragies à distance (HIC-d) pourrait se rapprocher de celui des HIC observées…

Microbiote intestinal : acteur clé dans les maladies du foie

Le microbiote intestinal représente l’en­semble des micro-organismes (bactéries, virus, parasites, levures et autres agents fongiques) qui peuplent l’intestin et vivent en symbiose avec l’organisme humain. L’al­tération de sa composition (dysbiose), de la barrière intestinale, de l’interaction de la barrière avec le microbiote ainsi…

Sensibilité ou résistance aux hormones thyroïdiennes

Il est commun d’établir le diagnostic des dysfonctions thyroïdiennes sur des modi­fications de la thyrostimuline hypophy­saire (TSH), et de les quantifier par le degré d’abaissement ou d’augmentation des concentrations des iodothyronines, T4 et de T3, circulantes.Cette conception est mise en défaut lorsque des facteurs génétiques,…